Jan Van Imschoot

Le jugement de Paris à Bruxelles

Après le succès de l’exposition collective ‘Belgique’ présentée à Paris à l’hiver 2015, à laquelle participait Jan Van Imschoot, la Galerie Templon propose une exposition personnelle de l’artiste belge à Bruxelles – la première dans la capitale depuis 2008.

Vue d’exposition, Le jugement de Paris à Bruxelles, TEMPLON BRUXELLES, 2016
Vue d’exposition, Le jugement de Paris à Bruxelles, TEMPLON BRUXELLES, 2016

Né à Gand en 1963, Jan Van Imschoot s’interroge sur le potentiel de la peinture. Son oeuvre, à forte charge critique et dramatique, multiplie les interférences entre citations artistiques, du Tintoret à Luc Tuymans, en passant par Goya, ou Matisse. L’artiste installe ses personnages, ses décors et ses narrations dans les marges de la grande Histoire, à coup de perspectives recomposées, de tons forcés, de corps en mouvement et d’une patte qu’il décrit lui-même comme ‘anarcho-baroque’.

A travers ses motifs de prédilection – liberté et censure, violence des systèmes politiques et idéologiques – on lit toute l’inquiétude d’un artiste obsédé par le chaos du monde, qui se dit convaincu que l’art reste la meilleure arme contre la dictature. Mêlant références autobiographiques aux souvenirs de la ‘vierge rouge’ Louise Michel et à la mythologie, les nouvelles oeuvres exposées dans Le Jugement de Paris à Bruxelles sont inédites. Jan Imschoot y porte son regard sur ‘la trinité Belge, la discorde entre pays, la vanité des peuples et individus, les sentiments de menace’.

Restauration

Détails

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L’artiste

Né à Gand en 1963, Jan Van Imschoot vit et travaille en France depuis 2013. Jan Van Imschoot explore les possibilités de la peinture, élaborant une œuvre à forte charge critique et dramatique avec de nombreuses références artistiques, du Tintoret à Luc Tuymans, en passant par Goya ou Matisse. Jan Van Imschoot installe ses personnages, décors et narrations dans les marges de l’Histoire, à coup de perspectives recomposées, de tons forcés, de corps en mouvement et d’un coup de pinceau qu’il qualifie d’ « anarcho-baroque ». Son travail explore les motifs de la liberté, de la censure et de la violence des systèmes politiques ou idéologiques.

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