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Julião Sarmento
THE INVISIBLE SHOW – EXPOSITION DE GROUPE

Du 26 septembre 2020 au 10 janvier 2021
Edifício-sede da, Caixa Geral de Depósitos, Rua Arco do Cego, 50 , 1000–300 Lisbon, Portugal

The Invisible Show cherche à cartographier les projets sonores d’artistes, sur la base du projet du même titre présenté par le commissaire Delfim Sardo en Espagne et en Israël, en 2007, maintenant dans une version agrandie. Nous ramenant à des artistes modernistes tels que Raoul Hausmann, Luigi Russolo, Marinetti ou Kurt Schwitters, l’exposition comprend des œuvres d’António Dias, James Lee Byars, Bruce Nauman, Luisa Cunha, Joan Jonas, Gonçalo Barreiros, Michael Snow, Julião Sarmento, Juan Muñoz et Gavin Bryars, Ricardo Jacinto, entre autres.

Julião Sarmento
RED LIGHT: SEXUALIDADE E REPRESENTAÇÃO NA COLEÇÃO NORLINDA E JOSÉ LIMA – EXPOSITION DE GROUPE

Du 26 septembre 2020 au 14 mars 2021
Centro de Arte Oliva, Rua da Fundição, 240, 3700-119 S. João da Madeira, Portugal

RED LIGHT présente une sélection d’œuvres de la collection d’art Norlinda et José Lima, ayant comme point commun l’approche de la sexualité, déclinée en de multiples thèmes, à la fois présentés dans un complément de contrepoint et dans une confrontation discordante: la représentation du corps, la nudité masculine et féminine , érotisme, fantaisie, désir et douleur, objet et sujet, plaisir et domination, lieux de représentation féminine, regard masculin, voyeurisme, exhibitionnisme et autoreprésentation en art.

Jan Fabre
REAL UTOPIAS – EXPOSITION DE GROUPE

Du 25 septembre au 30 novembre 2020
Maison R&C - 224 rue Paradis, 13006 Marseille, France

Manifesta, la biennale européenne itinérante présente cet automne une nouvelle exposition, Real Utopias. Construite autour d’œuvres dont le fil rouge est l’imagination d’un lieu qui n’a pas encore été érigé, l’utopie – ū et tópos- est un lieu qui n’existe pas et où s’imaginent des mondes autres. Toutes ces constructions imaginaires participent d’une manière ou d’une autre à des projets de transformation de la réalité. Peintures, vidéo, dessins, œuvres multimedia et sculptures révèleront les aspirations communes et l’esprit expérimental des différentes générations d’artistes qui imaginent de nouvelles manières d’habiter l’espace, qu’il soit physique, imaginaire ou corporel.

Julião Sarmento
PROJECTOMAP 2010–2020. MAPA OU EXPOSIÇÃO – EXPOSITION DE GROUPE

Du 24 septembre 2020 au 10 janvier 2021
Museu Coleção Berardo, Praça do Império, 1449-003 Lisboa, Portugal
 

Initié en 2010, ProjectoMAP, «MAP» comme acronyme de Map of Artists of Portugal, est un projet curatorail, de recherche et de cartographie de l’univers de l’art contemporain au Portugal. Chaque artiste est invité à suggérer deux noms d’artistes centraux dans son univers artistique et / ou personnel, et c’est à partir de cette nomination directe que la carte se développe exponentiellement.

Julião Sarmento
FEAST. FURY. FEMINA – EXPOSITION DE GROUPE

Du 23 septembre 2020 au 25 janvier 2021
maat — Museum of Art, Architecture and Technology, Av. Brasília, Belém, 1300-598 Lisboa, Portugal

L’exposition Feast Fury. Femina – Works from the FLAD Collection  marque le 35e anniversaire de la Luso-American Development Foundation. C’est la plus grande exposition de la collection de la Fondation jamais organisée.  Elle est composée de 228 pièces composées d’œuvres de 61 artistes portugais sélectionnés parmi les 1000 qui composent la collection. Feast Fury. Femina met à l’honneur la collection, évoque la dimension performative inhérente aux pratiques artistiques contemporaines et met en valeur la dimension féminine, exigeant un regard renouvelé sur l’histoire de l’art.

Gregory Crewdson
LE MAUVAIS OEIL – EXPOSITION DE GROUPE

Du 19 septembre 2020 au 10 janvier 2021
FRAC Auvergne, 6 Rue du Terrail, 63000 Clermont-Ferrand, France

Photographe d’envergure, Gregory Crewdson participe à l’exposition « Le mauvaise œil », se tenant au FRAC Auvergne. L’exposition, à la fois fondée sur la figure féminine de l’oracle et sur la prédiction et les signes d’un effondrement global, se fait le reflet artistique de l’état de notre monde contemporain. Le mauvais œil, figure archaïque de l’anathème, trouve dans cette exposition ses déclinaisons les plus diverses.

Abdelkader Benchamma
UN AUTRE MONDE///DANS NOTRE MONDE – EXPOSITION DE GROUPE

Du 19 septembre 2020 au 14 mars 2021
FRAC Grand Large — Hauts-de-France, 503 Avenue des Bancs de Flandres, 59140 Dunkerque

Abdelkader Benchamma participe à l’exposition « UN AUTRE MONDE///DANS NOTRE MONDE » au FRAC Nord-pas de Calais. L’exposition propose de découvrir le réalisme fantastique, mouvement majeur de la contre-culture des années 1960, à travers les œuvres d’artistes contemporains qui remettent en question les savoirs dominants et hybrident les connaissances scientifiques et ésotériques. Extravagantes, hermétiques, sensuelles, les œuvres convoquent les survivances de cultures traditionnelles, mythiques ou magiques, invitent à sonder les états de conscience modifiés, les limites de nos perceptions sensorielles, les codes cachés de la nature et les lois encore indéchiffrables qui régissent le cosmos.

Chiharu Shiota
PUSH THE LIMITS – EXPOSITION DE GROUPE

Du 7 septembre 2020 au 11 mars 2021
Fondazione Merz, via Limone 24, 10141 Turin, Italie

PUSH THE LIMITS est un projet qui étudie la façon dont l’art se limite à déplacer l’horizon de la pensée, de la perception et de la parole toujours plus loin afin d’introduire de nouveaux éléments. Les artistes invités saisissent cette occasion pour réaffirmer l’urgence de libérer l’infinité de possibles.

Omar Ba
Billie Zangewa
GLOBAL(E) RESISTANCE – EXPOSITION COLLECTIVE

Du 29 juillet au 4 janvier 2021
Centre Pompidou, Rue Beaubourg, 75003 Paris

L’exposition « Global(e) Resistance » dévoile pour la première fois les œuvres de plus d’une soixantaine d’artistes réunies au cours de la dernière décennie, dont les deux artistes sénégalais et sud-africaine Omar Ba et Billie Zangewa. L’exposition aux nombreux médias pose des interrogations théoriques, qui vont de l’articulation de l’esthétique et du politique au rapport même du musée au politique, au sein des mondes de l’art. Le principe de résister, étudié à travers une pratique à la fois artistique et politique, voire activiste, a souvent été l’apanage d’artistes vivant dans des situations d’oppression ou d’inégalités.

Kehinde Wiley
PEINTRE DE L’éPOPéE – EXPOSITION PERSONNELLE

Du 10 juillet au 01 novembre 2020
Centre d'art La Malmaison, 47 Boulevard de la Croisette, 06400 Cannes

Du 10 juillet au 1er novembre, le Centre d’Art de la Malmaison sur la Croisette, accueille l’une des stars internationales les plus recherchées d’aujourd’hui, l’américain Kehinde Wiley. À travers plus d’une vingtaine d’œuvres, le Centre d’art la Malmaison dévoile le dessein épique qui anime le travail de l’artiste depuis plus d’une décennie. Puisant son inspiration dans la peinture classique, du Titien à Gainsborough en passant par Van Dyck ou Ingres, Kehinde Wiley propose une perspective unique, politique et esthétique. En choisissant de rendre visible les invisibles de l’histoire, il interroge les spectateurs sur les questions de perception, de pouvoir et d’origine.Depuis 2006, dans le cadre de son projet The World Stage, Kehinde Wiley sillonne le monde, des favelas de Rio aux faubourgs de New Dehli, pour organiser des castings de rue dans des ateliers ad hoc. De ses rencontres impromptues avec ces jeunes noirs ou métisses, hommes ou femmes, naissent des portraits baroques saturés, empreints des vestiges et de la pompe des Grands Maîtres du passé. Kehinde Wiley se veut l’héritier de la longue lignée de portraitistes. Il réinterprète le vocabulaire traditionnel de la peinture, en insuflant puissance et prestige à des jeunes hommes et femmes rarement perçus à travers ce prisme.En se plongeant dans les questions d’identité raciale et sexuelle, la peinture de Kehinde Wiley crée un dialogue inattendu où histoire de l’art et culture noire américaine convergent avec grâce. L’artiste place au premier plan ceux qui ont été historiquement banis des cercles du pouvoir. Son œuvre, politiquement engagée, s’interroge sur les notions de race, de représentation, de privilège et d’excès. Au-delà de l’accusation politique, elle interroge les ressorts de l’histoire et ceux qui en définissent les termes.À travers cette rétrospective exceptionnelle, la première en France, se dessine la tentative de remettre en cause les canons de l’histoire de l’art tout en contribuant à leur construction. Kehinde Wiley nous invite, nous autres européens, à nous réapproprier une peinture dont nous avons, peut-être, oublié la vitalité alors que notre continent connaît une crise d’identité majeure et en constante évolution. Accueillir à Cannes une telle exposition monographique de Kehinde Wiley concrétise l’aspiration internationale de la ville en matière d’art contemporain.